Pour en savoir plus
Tout le monde peut être un trafiquant. Les réseaux de traite comprennent des hommes et femmes qui ont chacun un rôle déterminé, du recrutement à l’exploitation. Les trafiquants sont souvent des personnes de confiance pour les victimes – parents, voire de proches parents, ou des personnes que la victime connaît depuis longtemps. Les victimes peuvent être également exploitées par des inconnus, qu’elles rencontrent lorsqu’elles cherchent un travail, une occasion d’étudier à l’étranger ou dans une autre ville, un mariage, etc. Les réseaux de traite sont parfois gérés comme une entreprise familiale, où chaque membre de la famille joue un rôle.
La traite des êtres humains étant très rentable, les trafiquants sont prêts à passer des mois à gagner la confiance de la victime, en faisant semblant d’être un ami, le chéri, etc. de la victime. Quand le trafiquant recrute ses victimes par des offres d’emploi, il arrive qu'il présente la victime à un faux salarié, qui lui raconte alors qu’il/elle est très satisfait(e) de l'emploi et des conditions de travail.
Tout le monde peut devenir une victime de traite des êtres humains, quel que soit son âge, son niveau d’éducation, son statut social, sa nationalité, etc.
Une fois libérées du réseau de traite, les victimes sont confrontées aux conséquences de ce qu'elles ont vécu sur leur santé. Outre les problèmes gynécologiques que peuvent rencontrer les victimes d’exploitation sexuelle, les victimes de traite sont souvent sujettes à des maux de têtes sévères, des crises d'angoisse, des troubles de stress post-traumatique, des insomnies, ou encore aux conséquences de la malnutrition, etc. Les psychologues estiment que les victimes de traite ont besoin d’une période deux fois plus longue que la période d’exploitation pour commencer à récupérer, ce en raison des violences graves qu'elles subissent pendant l’exploitation. Sans un soutien adéquat, les victimes sont souvent dans l'impossibilité de récupérer complètement de ce traumatisme.
Une victime peut être recrutée par une offre d’emploi, un pseudo-amoureux, des personnes qu'elle est amenée à considérer comme des "amis”, ou vendue directement par son compagnon et/ou famille, ou encore kidnappée.
Les victimes sont généralement libérées par la police. Elles réussissent parfois à s’échapper ou à recevoir l’aide d’un client. Néanmoins, les recherches montrent que seule une victime sur dix réussi à s’échapper d’un réseau de traite.
Tout le monde peut être un trafiquant. Les réseaux de traite comprennent des hommes et femmes qui ont chacun un rôle déterminé, du recrutement à l’exploitation. Les trafiquants sont souvent des personnes de confiance pour les victimes – parents, voire de proches parents, ou des personnes que la victime connaît depuis longtemps. Les victimes peuvent être également exploitées par des inconnus, qu’elles rencontrent lorsqu’elles cherchent un travail, une occasion d’étudier à l’étranger ou dans une autre ville, un mariage, etc. Les réseaux de traite sont parfois gérés comme une entreprise familiale, où chaque membre de la famille joue un rôle.
La traite des êtres humains étant très rentable, les trafiquants sont prêts à passer des mois à gagner la confiance de la victime, en faisant semblant d’être un ami, le chéri, etc. de la victime. Quand le trafiquant recrute ses victimes par des offres d’emploi, il arrive qu'il présente la victime à un faux salarié, qui lui raconte alors qu’il/elle est très satisfait(e) de l'emploi et des conditions de travail.
Tout le monde peut devenir une victime de traite des êtres humains, quel que soit son âge, son niveau d’éducation, son statut social, sa nationalité, etc.
Une fois libérées du réseau de traite, les victimes sont confrontées aux conséquences de ce qu'elles ont vécu sur leur santé. Outre les problèmes gynécologiques que peuvent rencontrer les victimes d’exploitation sexuelle, les victimes de traite sont souvent sujettes à des maux de têtes sévères, des crises d'angoisse, des troubles de stress post-traumatique, des insomnies, ou encore aux conséquences de la malnutrition, etc. Les psychologues estiment que les victimes de traite ont besoin d’une période deux fois plus longue que la période d’exploitation pour commencer à récupérer, ce en raison des violences graves qu'elles subissent pendant l’exploitation. Sans un soutien adéquat, les victimes sont souvent dans l'impossibilité de récupérer complètement de ce traumatisme.
Une victime peut être recrutée par une offre d’emploi, un pseudo-amoureux, des personnes qu'elle est amenée à considérer comme des "amis”, ou vendue directement par son compagnon et/ou famille, ou encore kidnappée.
Les victimes sont généralement libérées par la police. Elles réussissent parfois à s’échapper ou à recevoir l’aide d’un client. Néanmoins, les recherches montrent que seule une victime sur dix réussi à s’échapper d’un réseau de traite.